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atelier écriture

  • Atelier écriture "Sport ou activité physique"

    Thème : Atelier d’écriture du13/05/24 : Choisir un sport ou une activité parmi celles citées (gym, Natation, Plongée, Ping-pong, Volley, Boxe….) et écrire un texte en décrivant la pratique, la motivation, l’effort, le vécu…

    Ben déjà, le ping-pong s’appelle comme ça pour les dilettantes ou vacanciers. Moi, je fais du tennis de table avec ma propre raquette et une petite balle, jaune comme beaucoup de grands joueurs ! Dans ma cuisine, j’utilise un chinois pour laisser passer le liquide et garder le solide. En tennis de table, les chinois ne laissent rien passer, ils renvoient toutes les balles ; Et en plus, on dirait qu’ils sont nés avec une raquette dans la main, qu’ils tiennent en "porte-plume". Nous, il y a bien longtemps qu’on est passés au Bic, des fois même en 4 couleurs ! Et on les retrouve en match : Bleu de peur quand on apprend le nom de son adversaire au tirage au sort, Vert comme la table, Rouge d’épuisement après un match et Noire, comme la colère à chaque point perdu… et il y en a beaucoup !!

    Mais, pourtant, on y retourne avec l’espoir de gagner au moins une fois. Et tiens, si on jouait en double ? N’est-ce pas une bonne idée ? A toi, à moi, chacun son tour.. Et bien non, c’est pareil, on perd toujours, mais je peux dire que c’est de la faute de mon équipier, qui, lui (de mauvaise foi) dira la même chose.

    Enfin ce n’est pas grave, on ne se fâche pas pour autant. On y retourne, c’est à mon tour de servir.. sur un plateau, je vous dis ! Mais l’adversaire, pas très coopérant, me renvoie une balle coupée ! Déjà, qu’entière, j’ai du mal à la reprendre, alors, coupée !!

    Et puis, à l’échange d’après, il smashe ! Çà alors, je ne pensais pas qu’un asiatique pouvait smasher ses mots (et mes maux ) !   Où va-t-on ? J’en peux plus, je vais me mettre au tennis, le vrai, pas de table !!!

    Jeano

  • Atelier écriture "Sujet d'actualité : Les J.O.."

    Thème : Sujet d’actualité : Les J.O. /  Parlez-nous d’un sport ou une activité physique auquel vous êtes adepte, (ou pas).

    Histoire d’eau.

    Depuis son plus jeune âge, Nina était attirée par l’eau, elle laissait couler la douche trop longtemps, elle pataugeait dans son bain en attendant de savoir nager comme son frère. Plus tard, je t’apprendrai lui disait-il; le temps passait mais il reportait la tâche, en attendant Nina cogitait.

    - Pourquoi ne pas me jeter à l’eau dans le ruisseau, ce serait rigolo ? 

     

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  • Atelier écriture "Le halku"

    Connaissez-vous le haïku ? (valable au scrabble) C'est un petit poème japonais, assez normalisé, car il doit se composer de 3 phrases (ou vers) de 5, 7, et 5 syllabes. Il n'y a pas obligatoirement de rimes, et doit évoquer un sentiment, un paysage, une saison, une émotion, sans jamais les citer.

    L'adaptation au français permet un peu plus de liberté de construction.

    Quelques exemples :

    Hier, sifflant aux oreilles
    aujourd'hui, dans le képi,
    demain dans la tête!

    Ah! le jour de l'an..
    Si on pouvait être encore
    un petit enfant !

    Pour notre atelier d 'écriture, il fallait faire 4 haïkus, un par saison. À vous de deviner quelle saison correspond à chacun d'eux (c'est pas difficile!) :

    Pollen dans le vent,
    mes yeux, mon nez me démangent :
    je ris et je pleure.

    Tapis blanc au sol ;
    Gros bonnet, écharpe, mitaines.
    Vivement chez moi!

    Grand soleil brûlant,
    coup de Sirocco sur mon front :
    grosses perles de sueur.

    Feuilles jonchant le sol,
    il fait gris, il pleut, il vente :
    Glissade assurée !

    Essayez à votre tour, ce n'est pas si facile de "condenser". Blaise Pascal l'a d'ailleurs dit : "je vous écris cette longue lettre parce que je n'ai pas eu le temps de faire court"

    Jean O.

  • Atelier écriture "Lipogramme"

    Thème : Faire un lipogramme en "i", (sans "i"),

    Je chante de bonheur, les vacances sont là. Le bateau est prêt à prendre la mer. Je pars abandonnant tout, seule sur ma frégate. Le retour ? Bof, cela se fera certes un jour, lorsque la tête chargée de bons moments sans regrets de les abonner à leur tous pour d’autres rêves et nouvelles aventures.

    Arletteck

  • Atelier écriture "Une bétise de l'enfance"

    Crêpes flambées.jpgLes crêpes au Grand Marnier des cousines

    J'ai 14 ans. Je suis en vacances avec mes deux cousines de 13 et 10 ans.

    Soudain, je m'interroge.

    - Nous pourrions préparer des crêpes flambées  !

    Aussitôt dit, aussitôt fait. La bouteille de Grand Marnier est pratiquement pleine.

    La pâte est prête. Nous y ajoutons le Grand Marnier de façon généreuse. Puis nous arrosons copieusement les crêpes de ce nectar chauffé.

    Et par le miracle d'une allumette, nous y mettons le feu. Une vraie magie !

    Et nous nous régalons.

    Au final, nous décidons de déguster un petit verre de Grand Marnier. J'avoue que c'est moi qui ai lancé l'idée. Mais l'enthousiasme de mes cousines est réel.

    Un petit verre si petit qu'il est suivi d'un autre.

    C'est l'euphorie. Nous sommes légèrement "pompettes".

    Au moment de ranger, nous constatons avec horreur que la bouteille de grand Marnier est presque vide.

    Ma petite cousine pleure :

    - Maman va nous punir.

    Je suis ennuyée. Je redescends sur terre.

    - Mais non, elle ne dira rien. J'ai une idée.

    J'ai rempli la bouteille au trois-quarts avec de l'eau du robinet. Après tout, nous sommes à Luchon, ville thermale par excellence et l'eau du robinet est prisée pour sa qualité.

    J'ai reposé la bouteille sur son étagère.

    - Tu vois Régine, ça ne se voit pas.

    Nous avons rangé la cuisine et gardé quelques crêpes nature pour ma tante et mon petit cousin qui suivait une cure pour ses problèmes ORL.

    Nous leur proposerons de la confiture, du sucre ou du miel et nous dresserons une jolie table.

    J'ignore le sort de la bouteille de Grand Marnier mais je n'ai jamais eu d'écho sur cet épisode peu reluisant de mon adolescence.

    Mais quel régal !

    Marie Dp

     

  • Café Math

    Micheldp nous a proposé une petite soirée de café-math….le 15 février

    Math ou littérature française ? les maths imposent un peu de sérieux. L’écriture aussi diront certains. i ! Mais qu’importe !! Soirée fabuleuse, à jouer ce soir-là avec les mots, ce soir-là, Alphonse Allais, et ses holorimes, étaient à l’honneur.  Ah quel drôle de mot celui-là ! mais plus encore lorsque ces tournures naissent comme çà, simplement ! 

    Et l’envie nous prends, (en tout cas moi) d’en faire, juste avec un peu d’attention, et les mots se bousculent pour sortir de la bouche …  avant de s’installer sur le papier !

    À notre atelier d’écriture parmi nos "exercices", il nous arrive de jouer, avec beaucoup de sérieux, à en créer, et on ne s’ennuie pas ! et nombres de jeux différents, avec de nom à l’apparence rébarbatif, holorime, zeugme, et d’autres encore existent !

    Holorimes, réalisés par certain grands personnages, amoureux de leurs plumes ! En voici quelques-uns :

    "Par les bois du Djinn, où s'entasse de l'effroi,
    Parle et bois du gin ! … Ou cent tasses de lait froid." (Alphonse Allais)

    "Étonnamment monotone et lasse
    Est ton âme en mon automne, hélas" ! Louise de Vilmorin (L'alphabet des aveux) 

    "Dans ces bois automnaux, graves et romantiques,
    Danse et bois aux tonneaux, graves et rhums antiques".  (Jacques Prévert)

    On en retrouve dans les sketchs Pierre Dax, et plus récemment de Coluche.

    Et encore aujourd’hui, Nekfeu chanteur-rap, dans la chanson "Avant tu riais" dans l'album Cyborg

    "Aventurier de l'inconnu, avant tu riais de l'inconnu"

    Arletteck

  • Atelier écriture "Interprétation tableau"

    Atelier écriture février (002)_Arbre.jpgPhoto de peintre

    Description
     Un tronc d’arbre arraché par une tempête, s’est retrouvé perpendiculaire à la rivière. Une fine femme, sa nudité cachée par en voilage transparent, est étendue le long de cet arbre. La tête en arrière et sa chevelure semblent protégés par sa main. Ses pieds sont en contact avec l’eau ruisselante.

     Interprétation
    Me promenant seule le long de cette rivière, éclairée par la lune, je n’avais sur moi qu’un voile de rideau. Un lieu peu connu où personne ne passe. Ce tronc d’arbre m’attirait. Une envie m’a prise, je me suis allongée le long. Le courant d’eau caresse mes pieds. Le son de l’eau fraîche qui coule excitait mon corps. Mais j’étais seule, et pas désespérée…

    Yvesck